Reçu aujourd'hui. Je commence à l'écouter.
Pour l'instant, je me contenterai d'exprimer mon agacement à propos du boîtier en forme de mini-livre. Un grand zéro pointé pour le système de rangement des disques qui sont très difficiles à extraire sans y mettre les 10 doigts (surtout pour le disque n°1).
Résultat des courses, je vais "encore" être obligé de les ranger dans des petites pochettes à part (chose que j'ai dû faire pour Proserpine et Sémélé par ex).
Les gens de chez Aparte collent peut-être leurs doigts sur leurs disques, les laissent traîner sur la table basse, au milieu des magazines, à côté du cendrier, mais pas moi.
Cette "french touch" du boîtier (les bouquins de grande taille chez Glossa, les petits bouquins chez Aparte, j'en passe et des pires), franchement, je m'en passerais bien ! D'ailleurs, quand c'est possible, je n'hésite pas : ainsi, j'ai acheté Les fêtes de l'Hymen et de l'Amour au Royaume-Uni, en édition digipack standard. Ras-le-bol !
Actuellement, que ce soit chez les éditeurs musicaux ou les éditeurs de films, il y a une sorte de fascination pour la "dé-standardisation", pour les emballages pas possibles, les formats hétéroclites, et l'illusion qu'on va flatter les derniers amateurs de supports physiques en leur proposant de "beaux objets" (ou supposés tels). Pour ce qui me concerne, ça ne marche pas ; ça produit l'effet inverse, une réaction de rejet.
A bon entendeur.